Dans le cadre de la publication des œuvres de Haydn, voici donc cette symphonie en do Majeur qu’on peut dater de 1788. Elle comporte quatre mouvements : Après un allegro assai précédé d’un adagio se présente un andante plein de grâce chantante et de charme où l’on sent toute l’influence de Mozart. Le menuetto qui suit est empreint de cette bonhommie si caractéristique de Haydn ; quant au Final indiqué « allegro assai », il nous emporte dans un tourbillon de bonne humeur qui fait du bien… L’édition est, comme toujours parfaitement lisible et agréable à voir et destinée à être utilisée comme édition de travail ou par un chef !
Daniel Blackstone